Il y avait au matin du départ un vent, un très fort vent. À moins du premier kilomètre de franchi, j'ai vu un gros insecte sortir du casque de mon amoureux, rebondir sur mon maillot et atterrir sur mon cuissard, le dart bien sorti car j'ai été piquée. J'ai dû m'arrêter car ma cuisse brûlait et je croyais le dart dans ma peau mais rien. Aie. Rapidement ma peau s'est misé à brûler. J'ai continuer à rouler, la sensation s'est apaisée mais est tout de même restée présente tout le parcours.
Nous avons rapidement joint une troisième personne qui roulait vite malgré ce vent, environ à 30 km/h. Nous l'avons suivi pendant 40 km. Après j'ai eu besoin de relaxer un peu. J'ai pris une barre et j'ai retrouvé mon énergie. Je dois absolument m'alimenter de façon régulière sinon je perds trop d'énergie.
Je vous rappelle que je n'ai pas roulé de longues distances cet été donc après 60 km, je me fatigue assez rapidement. Roule roule et à environ 12 km de l'arrivée je crois que j'ai «Bunkée». Dans le langage cycliste, cela veut dire ne plus avoir d'énergie, être à zéro! Olala, mon amoureux m'a encouragée à finir mais je crois que je roulais à 12 km/h, ensuite un peu plus vite, un peu plus lent et j'ai trouvé la fin du parcours difficile. Lorsque je voyais des belles pelouses vertes, comme sur cette image, je n'avais qu'une seule envie, très forte, celle de descendre du vélo et de me coucher en petite boule sur la pelouse!
Je vous rappelle que je n'ai pas roulé de longues distances cet été donc après 60 km, je me fatigue assez rapidement. Roule roule et à environ 12 km de l'arrivée je crois que j'ai «Bunkée». Dans le langage cycliste, cela veut dire ne plus avoir d'énergie, être à zéro! Olala, mon amoureux m'a encouragée à finir mais je crois que je roulais à 12 km/h, ensuite un peu plus vite, un peu plus lent et j'ai trouvé la fin du parcours difficile. Lorsque je voyais des belles pelouses vertes, comme sur cette image, je n'avais qu'une seule envie, très forte, celle de descendre du vélo et de me coucher en petite boule sur la pelouse!
J'ai résisté et j'ai terminé le défi. J'en suis fière. Merci à mon amoureux qui m'a beaucoup encouragé.
Mon temps : 101.8 km: 4:03 heure Moyenne 25 km/h
Ce n'est pas gagné pour le défi Vélomag. Que s'est-il passé? C'est la piqure d'insecte qui m'a bouffé tout mon énergie? C'est le vent qui m'a fait travaillé trop fort mentalement et physiquement? Peut-être un mélange des deux. Somme toute, j'avais besoin de faire ce défi pour me préparer au parc de la Mauricie. À suivre