Cette année, je participerai à la cyclosportive Garneau-Cascades qui aura lieu le 15 août prochain. L'an dernier je voulais la faire mais il m'avait été impossible d'organiser un transport pour le retour. Cette cyclo est de 110 km, avec un départ de Trois-Rivères et une arrivée à St-Augustin-de-Desmaures, à l'usine de Louis Garneau. Le trajet longe la route 138.
Je dois l'avouer, j'ai usé de ruse pour l'inscription. Lundi lorsque j'ai téléphoné les inscriptions étaient complètes et aujourd'hui, je recevais par courriel ma confirmation d'inscription. Je suis bien contente car je serai en vacances à ce moment et je voulais faire ce parcours pendant mes vacances!!
Le prix d'inscription est de 100$ incluant un maillot cycliste à l'effigie de l'événement. Pour 10$ supplémentaires, nous avions droit à un transport en autobus pour Trois-Rivières la journée même. Pas de soucis donc pour organiser le retour. Au début j'avais pensé dormir à Québec et revenir le lendemain mais ce ne sera pas nécessaire, nous serons dans notre lit le soir même. Les fonds amassés iront au Petits Frères de Pauvres.
C'est ma bonne nouvelle du jour.
28 juillet 2010
22 juillet 2010
Sorties du mercredi
Je roule souvent sur la rive-sud les mercredis soirs. Une nouvelle gang à qui je me suis jumelée cette année.
Hier soir le temps incertain a fait que plusieurs sont restés à la maison. Nous étions 4 personnes seulement et j'étais la seule fille. Nous avons roulé 1h30 à bon rythme à l'allée (35km/h) et plus doucement au retour. Ça m'a fait une bonne sortie.
Depuis que les chicanes sont installées au CGV, il est impossible de rouler de façon constante à ce rythme. Le CGV est encore bon pour rouler mollo ou faire des intervalles courts entre les chicanes mais il est impossible de garder un rythme vite sur plusieurs km. Il faut donc trouver des alternatives et les sorties du mercredi soir sur la rive-sud répondent à ce besoin.
Avec ma performance à la cyclosportive de Magog dimanche dernier, je me dis qu'il ne m'est pas impossible de faire le défi vélo mag en 4 heures cette année.
Depuis le début de la saison j'ai fait plusieurs parcours en côtes, mon rythme en côtes s'est amélioré et j'ai perdu du poids. Chacun de ces éléments fait en sorte que je me dis que cela est possible cette année. Hum. Pas facile le parcours du parc de la Mauricie. Il faudra que je continue l'entraînement mais j'y pense et je dois mettre en place une stratégie pour y arriver. Je veux retourner faire le parcours du Nordet. C'est un bon entraînement pour le défi vélo mag. En août j'y retourne.
À suivre.
Hier soir le temps incertain a fait que plusieurs sont restés à la maison. Nous étions 4 personnes seulement et j'étais la seule fille. Nous avons roulé 1h30 à bon rythme à l'allée (35km/h) et plus doucement au retour. Ça m'a fait une bonne sortie.
Depuis que les chicanes sont installées au CGV, il est impossible de rouler de façon constante à ce rythme. Le CGV est encore bon pour rouler mollo ou faire des intervalles courts entre les chicanes mais il est impossible de garder un rythme vite sur plusieurs km. Il faut donc trouver des alternatives et les sorties du mercredi soir sur la rive-sud répondent à ce besoin.
Avec ma performance à la cyclosportive de Magog dimanche dernier, je me dis qu'il ne m'est pas impossible de faire le défi vélo mag en 4 heures cette année.
Depuis le début de la saison j'ai fait plusieurs parcours en côtes, mon rythme en côtes s'est amélioré et j'ai perdu du poids. Chacun de ces éléments fait en sorte que je me dis que cela est possible cette année. Hum. Pas facile le parcours du parc de la Mauricie. Il faudra que je continue l'entraînement mais j'y pense et je dois mettre en place une stratégie pour y arriver. Je veux retourner faire le parcours du Nordet. C'est un bon entraînement pour le défi vélo mag. En août j'y retourne.
À suivre.
19 juillet 2010
Cyclosportive de Magog 2010 : une illusion de podium!
Dimanche dernier (hier) a eu lieu la cyclosportive de Magog. Deux options de parcours, un 50 km et un 100 km. Il s'agissait d'une belle boucle de 50 km à faire deux fois si nous choisissions le parcours du 100 km. C'était un nouveau parcours cette année. L'an passé, c'était un parcours de 90 km.
J'ai préféré le parcours de cette année. Nous parcourions les villes d'Orford, Eastman et d'autres municipalités en Estrie. La chaussée était neuve sur plusieurs km du parcours et il s'agissait de toujours tourner à droite, pas de risques de se perdre même s'il y avait des bénévoles qui nous indiquaient la route aux intersections.
J'étais inscrite au 100 km et je suis bien satisfaite de ma performance. D'abord parce que rendu au premier 50 km, mon temps m'aurait valu la médaille d'argent si j'avais opté pour le parcours du 50 km. Ensuite parce que j'ai parcouru le 2e 50 km seule face à de forts vents par endroits et que j'ai gardé un bon moral malgré tout. Dans ma tête je me disais : tu es ici pour rouler alors roule! Ma moyenne de vitesse pour la durée du 100 km a été de 26,7 km/h. Une bonne moyenne pour moi sur un parcours vallonné comme celui-ci. Mon temps final : 3h46.
Lorsque j'ai franchi la ligne d'arrivée, mes jambes n'en pouvaient plus. Le parcours se termine sur une montée de quelques centaines de mètres. Ouf. Lorsque j'ai remis ma puce à l'organisatrice, elle m'a demandé comment j'allais et je n'ai pas pu répondre. J'étais totalement claquée, mes jambes tremblaient et j'avais de fortes nausées. Je suis arrivée à la voiture où mon amoureux m'a accueillie - il a été surpris de me voir arrivée si tôt et déçu d'avoir manqué mon arrivée!- j'étais encore incapable de parler et je voulais juste m'étendre quelque part, mais il n'y avait pas de gazon autour, je me suis allongée sur le banc de la voiture, j'ai bu et j'ai mangé un sandwich et ensuite je me suis quelque peu réveillée. Aie, toute une expérience encore cette année.
Dans le prix d'inscription, nous avions un lunch d'inclus. Pendant que je me changeais, mon amoureux est allé chercher notre boîte à lunch. Je suis revenue à la table et il m'a dit : ferme tes yeux. Il m'a passé une médaille autour du coup, j'avais fini 3e chez les femmes au 100 km!! Instantanément, mon mal de jambes a disparu, je me suis levée pour aller voir le classement et mon nom était bien en 3e place, mais sans que mon temps soit inscrit.
Le lendemain quand je suis allée sur le site de la FQSC, j'ai vu que finalement je n'étais pas 3e...Bouhouhou, vraiment, les organisateurs auraient pu attendre d'avoir TOUS les temps avant de me remettre la médaille! Alors aujourd'hui, il y a une fille qui cherche sa médaille de la 3e place et c'est moi qui l'ait à la maison...
J'aurai eu mon heure de gloire, je me suis promenée toute la soirée avec ma médaille au coup et ça m'a bien fait sourire malgré tout. L'important n'est-ce pas de participer et de repousser nos propres limites encore plus loin? C'est ce que j'ai fait hier et pour cette raison, je suis fière de moi. Encore plus agréable de partager ces moments avec mon amoureux qui a lui aussi fait le 100 km!
J'ai préféré le parcours de cette année. Nous parcourions les villes d'Orford, Eastman et d'autres municipalités en Estrie. La chaussée était neuve sur plusieurs km du parcours et il s'agissait de toujours tourner à droite, pas de risques de se perdre même s'il y avait des bénévoles qui nous indiquaient la route aux intersections.
J'étais inscrite au 100 km et je suis bien satisfaite de ma performance. D'abord parce que rendu au premier 50 km, mon temps m'aurait valu la médaille d'argent si j'avais opté pour le parcours du 50 km. Ensuite parce que j'ai parcouru le 2e 50 km seule face à de forts vents par endroits et que j'ai gardé un bon moral malgré tout. Dans ma tête je me disais : tu es ici pour rouler alors roule! Ma moyenne de vitesse pour la durée du 100 km a été de 26,7 km/h. Une bonne moyenne pour moi sur un parcours vallonné comme celui-ci. Mon temps final : 3h46.
Lorsque j'ai franchi la ligne d'arrivée, mes jambes n'en pouvaient plus. Le parcours se termine sur une montée de quelques centaines de mètres. Ouf. Lorsque j'ai remis ma puce à l'organisatrice, elle m'a demandé comment j'allais et je n'ai pas pu répondre. J'étais totalement claquée, mes jambes tremblaient et j'avais de fortes nausées. Je suis arrivée à la voiture où mon amoureux m'a accueillie - il a été surpris de me voir arrivée si tôt et déçu d'avoir manqué mon arrivée!- j'étais encore incapable de parler et je voulais juste m'étendre quelque part, mais il n'y avait pas de gazon autour, je me suis allongée sur le banc de la voiture, j'ai bu et j'ai mangé un sandwich et ensuite je me suis quelque peu réveillée. Aie, toute une expérience encore cette année.
Dans le prix d'inscription, nous avions un lunch d'inclus. Pendant que je me changeais, mon amoureux est allé chercher notre boîte à lunch. Je suis revenue à la table et il m'a dit : ferme tes yeux. Il m'a passé une médaille autour du coup, j'avais fini 3e chez les femmes au 100 km!! Instantanément, mon mal de jambes a disparu, je me suis levée pour aller voir le classement et mon nom était bien en 3e place, mais sans que mon temps soit inscrit.
Le lendemain quand je suis allée sur le site de la FQSC, j'ai vu que finalement je n'étais pas 3e...Bouhouhou, vraiment, les organisateurs auraient pu attendre d'avoir TOUS les temps avant de me remettre la médaille! Alors aujourd'hui, il y a une fille qui cherche sa médaille de la 3e place et c'est moi qui l'ait à la maison...
J'aurai eu mon heure de gloire, je me suis promenée toute la soirée avec ma médaille au coup et ça m'a bien fait sourire malgré tout. L'important n'est-ce pas de participer et de repousser nos propres limites encore plus loin? C'est ce que j'ai fait hier et pour cette raison, je suis fière de moi. Encore plus agréable de partager ces moments avec mon amoureux qui a lui aussi fait le 100 km!
15 juillet 2010
Gâteau à la rhubarbe de Monette
Une autre recette à la rhubarbe. Si vous aimez les gâteaux ultra-moelleux, vous serez bien servi avec celui-ci. C'est le babeurre dans la recette qui crée cette texture moelleuse. Si c'était à refaire, j'ajouterais une tasse supplémentaire de rhubarbe. J'ai utilisé un moule à charnière de 25 cm, le seul que j'ai à la maison. J'ai donc réduit le temps de cuisson, 35 minutes a été suffisant. Évidemment, mon gâteau est un peu plus mince que si j'avais utilisé un moule de 20 cm, ce qui permet de prendre une plus grande portion ;-).
Il me reste encore beaucoup de rhubarbe à la maison, je ferai cette recette de nouveau avant la fin de l'été. L'idéal est de servir avec un filet de crême champêtre ou une boule de crème glacée. C'est frais et idéal pour ce temps chaud de l'été. N'hésitez pas à la faire et s'il reste des portions, le gâteau se congèle.
*Edit: Je confirme qu'il vaut la peine de congeler des morceaux, il est excellent aussi décongelé.
Pour d'autres photos (plus belle que la mienne!), je vous invite à aller juste ici.
Ingrédients
125 ml (1/2 tasse) de beurre non salé, mou
1 œuf
375 ml (1 1/2 tasse) de cassonade
5 ml (1 c. à thé) d'essence de vanille
500 ml (2 tasses) de farine
5 ml (1 c. à thé) de bicarbonate de soude
1 pincée de sel
250 ml (1 tasse) de lait de beurre (babeurre)
500 ml (2 tasses) de cubes de rhubarbe fraîche non pelée de 1 cm (1/2 po) ourhubarbe surgelée, décongelée et égouttée
Garniture
60 ml (1/4 tasse) de sucre
5 ml (1 c. à thé) de cannelle moulue
Préparation
Préchauffer le four à 180 ºC (350 ºF).
Beurrer un moule à charnière de 20 cm (8 po).
Dans un bol, fouetter le beurre, l'œuf, la cassonade et l'essence de vanille au batteur électrique jusqu'à ce que le mélange soit onctueux.
Dans un autre bol, mélanger la farine, le bicarbonate de soude et le sel. Ajouter au mélange précédent en alternance avec le lait de beurre. Ajouter la rhubarbe et mélanger à la cuillère de bois. Verser dans le moule.
Dans un petit bol, mélanger le sucre et la cannelle. En saupoudrer le dessus du gâteau. 5 .Cuire au centre du four environ 1 heure ou jusqu'à ce qu'un cure-dents en ressorte propre.
Note
À défaut de lait de beurre, aussi appelé babeurre, utiliser 250 ml (1 tasse) de lait auquel on ajoute 5 ml (1 c. à thé) de vinaigre blanc. Ce liquide blanchâtre au goût aigrelet est en fait du lait partiellement écrémé auquel on ajoute une culture bactérienne. On utilise habituellement le babeurre pour donner une texture moelleuse aux gâteaux et aux muffins.
Source: http://www.ricardocuisine.com/recettes/gateaux/421-gateau-a-la-rhubarbe-de-monette
Il me reste encore beaucoup de rhubarbe à la maison, je ferai cette recette de nouveau avant la fin de l'été. L'idéal est de servir avec un filet de crême champêtre ou une boule de crème glacée. C'est frais et idéal pour ce temps chaud de l'été. N'hésitez pas à la faire et s'il reste des portions, le gâteau se congèle.
*Edit: Je confirme qu'il vaut la peine de congeler des morceaux, il est excellent aussi décongelé.
Ingrédients
125 ml (1/2 tasse) de beurre non salé, mou
1 œuf
375 ml (1 1/2 tasse) de cassonade
5 ml (1 c. à thé) d'essence de vanille
500 ml (2 tasses) de farine
5 ml (1 c. à thé) de bicarbonate de soude
1 pincée de sel
250 ml (1 tasse) de lait de beurre (babeurre)
500 ml (2 tasses) de cubes de rhubarbe fraîche non pelée de 1 cm (1/2 po) ourhubarbe surgelée, décongelée et égouttée
Garniture
60 ml (1/4 tasse) de sucre
5 ml (1 c. à thé) de cannelle moulue
Préparation
Préchauffer le four à 180 ºC (350 ºF).
Beurrer un moule à charnière de 20 cm (8 po).
Dans un bol, fouetter le beurre, l'œuf, la cassonade et l'essence de vanille au batteur électrique jusqu'à ce que le mélange soit onctueux.
Dans un autre bol, mélanger la farine, le bicarbonate de soude et le sel. Ajouter au mélange précédent en alternance avec le lait de beurre. Ajouter la rhubarbe et mélanger à la cuillère de bois. Verser dans le moule.
Dans un petit bol, mélanger le sucre et la cannelle. En saupoudrer le dessus du gâteau. 5 .Cuire au centre du four environ 1 heure ou jusqu'à ce qu'un cure-dents en ressorte propre.
Note
À défaut de lait de beurre, aussi appelé babeurre, utiliser 250 ml (1 tasse) de lait auquel on ajoute 5 ml (1 c. à thé) de vinaigre blanc. Ce liquide blanchâtre au goût aigrelet est en fait du lait partiellement écrémé auquel on ajoute une culture bactérienne. On utilise habituellement le babeurre pour donner une texture moelleuse aux gâteaux et aux muffins.
Source: http://www.ricardocuisine.com/recettes/gateaux/421-gateau-a-la-rhubarbe-de-monette
12 juillet 2010
St-Donat/Lac supérieur
Une autre très belle sortie de vélo ce week-end. Cette année je roule et je découvre des nouveaux parcours à vélo, j'aime bien ça.
Ça faisait un bout de temps que je voulais faire le parcours du «Nordet» qui nous amène de St-Donat au lac supérieur à Tremblant. Le parcours suivi se trouve ici. Pour ceux et celles comme moi qui n'aiment pas se soucier du chemin en roulant, avec celui-ci rien de plus simple, c'est un allez-retour et il n'y a pas de risques de se tromper.
Pour le départ, le rendez-vous se trouvait dans un stationnement face à un lac dont j'oublie le nom mais dont nous espérions faire une trempette/saucette à notre arrivée. Avant de penser à se baigner, il fallait rouler. Le parcours de 99,7 km comporte une ascension totale de 1175 m. Une bonne pratique avant la cyclosportive de Magog dimanche prochain.
Je dirais que ce parcours est presque le royaume des cyclistes. On y croise que très peu de voitures mais beaucoup de vélos. À l'allée, 20 km après notre départ, j'ai décidé de compter les cyclistes que l'on croisait. J'ai arrêté mon compte à 80... Au total, nous avons croisés plus d'une centaine de cyclistes.
Le retour a été plus difficile. Il faisait très chaud et lors d'une descente, j'ai eu envie de fermer les yeux juste quelques secondes pour me reposer... bon, je ne l'ai pas fait car j'aurais fait une belle culbute mais j'y ai pensé, j'ai dû prendre un peu trop de soleil...
Au retour, j'ai mangé un gros sandwich, je me suis sentie revivre et j'ai plongé dans le lac.Quel beau samedi.
Ça faisait un bout de temps que je voulais faire le parcours du «Nordet» qui nous amène de St-Donat au lac supérieur à Tremblant. Le parcours suivi se trouve ici. Pour ceux et celles comme moi qui n'aiment pas se soucier du chemin en roulant, avec celui-ci rien de plus simple, c'est un allez-retour et il n'y a pas de risques de se tromper.
Pour le départ, le rendez-vous se trouvait dans un stationnement face à un lac dont j'oublie le nom mais dont nous espérions faire une trempette/saucette à notre arrivée. Avant de penser à se baigner, il fallait rouler. Le parcours de 99,7 km comporte une ascension totale de 1175 m. Une bonne pratique avant la cyclosportive de Magog dimanche prochain.
Je dirais que ce parcours est presque le royaume des cyclistes. On y croise que très peu de voitures mais beaucoup de vélos. À l'allée, 20 km après notre départ, j'ai décidé de compter les cyclistes que l'on croisait. J'ai arrêté mon compte à 80... Au total, nous avons croisés plus d'une centaine de cyclistes.
Le retour a été plus difficile. Il faisait très chaud et lors d'une descente, j'ai eu envie de fermer les yeux juste quelques secondes pour me reposer... bon, je ne l'ai pas fait car j'aurais fait une belle culbute mais j'y ai pensé, j'ai dû prendre un peu trop de soleil...
Au retour, j'ai mangé un gros sandwich, je me suis sentie revivre et j'ai plongé dans le lac.Quel beau samedi.
9 juillet 2010
Charles
J'aime la lecture de Charles le téméraire. Que va-t-il advenir de Charles et de son chien Bof? C'est qu'ils vivent pleins d'aventures ces 2 amis! J'ai hâte de lire la suite. L'avez-vous lu?
C'est une trilogie écrite par Yves Beauchemin, un auteur québécois rendu célèbre par le livre «Le Matou», porté au grand écran dans les années '80.
Après avoir terminé récemment la lecture de «Trois femmes puissantes» de Marie NDiaye, il s'avère bon de vivre le légèreté de l'écriture de Beauchemin. Le livre «puissant» de NDiaye, gagnant du prix Goncourt 2009, ne s'adresse pas à un grand public. La lecture nécessite réflexion et dégustation. Il est certes bien écrit mais nous sommes loin de la légèreté des aventures de Charles le téméraire !
Bon week-end à tous.
C'est une trilogie écrite par Yves Beauchemin, un auteur québécois rendu célèbre par le livre «Le Matou», porté au grand écran dans les années '80.
Après avoir terminé récemment la lecture de «Trois femmes puissantes» de Marie NDiaye, il s'avère bon de vivre le légèreté de l'écriture de Beauchemin. Le livre «puissant» de NDiaye, gagnant du prix Goncourt 2009, ne s'adresse pas à un grand public. La lecture nécessite réflexion et dégustation. Il est certes bien écrit mais nous sommes loin de la légèreté des aventures de Charles le téméraire !
Bon week-end à tous.
5 juillet 2010
S'abonner pour changer ou changer avant de s'abonner?
Doit-on changer ses habitudes de vie avant de s'abonner (à un gym, à Bixi, à un studio de Yoga, etc) ou s'abonner pour changer ses habitudes de vie?
Quelle est votre position? Il n'y a pas de réponse unique et cela dépendra des gens.
Dans le cas de mon abonnement à Bixi, j'ai opté pour l'abonnement qui me fera changer mes habitudes de vie. Je vous expliquerai plus en détails dans un prochain billet.
Le paiement financier à une activité peut être pour certains (ou plusieurs!) une grande incitation à l'action. L'est-il pour vous?
Quoi qu'il en soit, pour bouger davantage, manger mieux, dormir plus, il faut changer nos habitudes, se créer une nouvelle routine, se permettre de s'adapter et si l'abonnement à une nouvelle activité peut permettre de changer nos habitudes, pourquoi ne pas l'essayer et persévérer quelques temps?
Quelle est votre position? Il n'y a pas de réponse unique et cela dépendra des gens.
Dans le cas de mon abonnement à Bixi, j'ai opté pour l'abonnement qui me fera changer mes habitudes de vie. Je vous expliquerai plus en détails dans un prochain billet.
Le paiement financier à une activité peut être pour certains (ou plusieurs!) une grande incitation à l'action. L'est-il pour vous?
Quoi qu'il en soit, pour bouger davantage, manger mieux, dormir plus, il faut changer nos habitudes, se créer une nouvelle routine, se permettre de s'adapter et si l'abonnement à une nouvelle activité peut permettre de changer nos habitudes, pourquoi ne pas l'essayer et persévérer quelques temps?
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